Aller au bout du Monde
Le prix de la Nouvelle Zélande (au propre comme au figuré), c'est le trajet. 24h d'avion plus une correspondance à gérer quelque part en Asie, ça nécessite une capacité à dormir avec n'importe quel niveau sonore et dans n'importe quelle position, un peu d'inventivité pour garder un niveau d'hygiène correct et de l'inspiration concernant les activités à bord car 12h d'une traite, c'est long, même en A380 !
Mais ces contraintes sont gommées par la motivation absolue du début des vacances. Tester des compagnies aériennes jusque là inconnues, découvrir de nouveaux aéroports... Et le voyage ne commence pas sur place mais bien plus tôt, quand chaque seconde nous rapproche de la destination tant convoitée. Je suis une adepte du suivi du vol sur satellite : savoir qu'à cette seconde on se situe au dessus d'un lieu où on n'a jamais mis les pieds (Himalaya, ligne de l'Equateur, barrière de Corail et Australie, Nouvelle-Calédonie...), ça se savoure !
Et à l'arrivée à l'aéroport d'Auckland... Les geeks reconnaitront une statute tout droit sortie d'Erebor, ou plutôt des studios Weta !
Bon, il va sans dire que sans la motivation du début des vacances, le retour est plus dur... -_-